Rencontres cinématographiques de Cannes 2016

Questionnaire pour la réalisatrice

Flavia Coste au sujet de son film en avant-première :

« Un Jour Mon Prince »

#RCC2016 le 12/12/2016

  1. Combien de temps ça vous a pris pour faire ce film ?

Il a fallu 5 ans de préparation, 6 mois de tournage et 4 mois de montage.

  1. Qui a écrit le scénario ?

Flavia Coste a co-écrit le scénario.

  1. D’où vous est venue l’idée de faire ce film ?

Flavia Coste a toujours adoré les contes.

  1. Est-ce-que c’est un film qui a coûté cher ?

Il a couté 2 200 000 euros, c’est peu pour un film. Il y a beaucoup de métiers, de techniciens pour fabriquer un film et ils sont tous payés au même tarif ici. Si le film marche ils recevront un bonus.

  1. Pourquoi avez-vous pris des actrices québécoises ?

C’est un partenariat avec le Québec (le film sort au mois de Mars) et se sont des actrices très connues là-bas.

  1. Où avez-vous tourné le film ?

A Paris et en Poitou-Charentes : dans la région de Saintes et Saint-Maigrin.

Tapé par Soltane et Rayan

 

Atelier d’Arts Plastiques

Hier, jeudi 1er Décembre 2016, Marie est venue dans notre classe pour faire un atelier d’art plastique.

On a utilisé une brosse à dents pour faire l’empreinte de la main comme les hommes préhistoriques.

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Ensuite on a frotté notre main sur une feuille remplie de fusain et on a posé notre main noire sur une feuille blanche et il est resté la trace.

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Après, avec de l’encre et une paille on a soufflé et ça a fait des formes.

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Puis Marie a étalé de la gouache sur une feuille en plastique et nous l’avons enlevé avec une sorte de pinceau, et nous avons mis une feuille dessus et ça a fait des traces blanches sur le fond noir.

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C’était super !

 

Sortie Musée Picasso

 

 

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Hier, jeudi 24 Novembre 2016, la classe IEM Duruy est allée au Musée Picasso d’Antibes.

Marie était notre guide, elle nous a montré des tableaux d’Arman, Soulages, César,

Nicolas de Staël et Jean Degottex et elle nous a parlé des gestes, des mouvements et des

outils pour peindre. Elle nous a dit aussi que Nikki de St Phalle tirait à la carabine sur ses

toiles et qu’Yves Klein se servait des corps de femmes pour peindre.

Après, on est allé manger des bagels et des cup cakes et on est rentré.

C’était une bonne journée malgré la pluie !

Texte collectif tapé par Soltane DRIDI 

Un Festival c’est trop court !

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Lundi 17 octobre 2016, la classe IEM est allée au cinéma Mercury pour voir les courts-métrages d’«Un Festival c’est trop court ! ». Moi, Yassin j’ai préféré le dernier film « Périphéria ». C’est l’histoire de chiens qui vont dans des immeubles où il n’y a personne. Il y a un chien tout seul qui voudrait partir avec le groupe de chiens mais ils ne veulent pas. Alors il s’en va tout seul. Après les immeubles sont détruits. J’ai aimé ce court-métrage parce que j’aime bien les animaux et que c’était bien dessiné. C’était bien ! Texte écrit et tapé par Yassin

Jason : moi, j’ai préféré le premier film  « Vaysha, l’aveugle » parce que la fille ne voyait pas le présent : d’un œil elle voyait le passé et de l’autre elle voyait le futur. C’est l’histoire qui m’a plu. J’ai ressenti de la tristesse parce que le futur faisait peur et le passé est bien mais il était déjà passé. C’était une belle animation. Texte écrit et tapé par Jason

Celui que je n’ai pas aimé c’est le dernier avec les chiens parce que c’était bizarre, il n’y avait pas d’humain et ça criait tout le temps.

Abdeslam : j’ai préféré « In the distance » c’est l’histoire d’un homme et d’un coq, ils sont tous seuls dans une tour et autour on entend la guerre. La tour est bombardée mais n’a pas trop de dégâts. L’homme pêche, mange, boit, regarde la télé, dort mais à un moment un garde essaye de monter dans la tour et l’homme le pousse et le tue. Ensuite le coq meurt alors l’homme redescend de sa tour sur la terre ferme. J’ai bien aimé le dessin et les couleurs. Les autres courts-métrages je n’ai pas trop aimé. Lucien aussi a aimé celui-ci.

Soltane : j’ai aimé « Amelia et Duarte » parce qu’ils se font des bisous.

Hovhannès : j’ai aimé « Happy end » parce que ça faisait rire, il y avait de l’humour.